Dans la déclaration finale, les délégations ayant participé à la réunion se sont engagées à prendre toutes les mesures nécessaires pour appliquer et renforcer les sanctions à l’encontre du régime syrien.
Dans ce sens, le chef de la diplomatie tunisienne et président de la Conférence, Rafik Abdessalem, a souligné que des pays occidentaux et arabes devraient reconnaitre le Conseil national syrien comme représentant légitime du peuple syrien, lors de la prochaine réunion prévue cette année en Turquie.
S’exprimant lors d’une conférence de presse, le responsable tunisien a affirmé que la tenue de cette réunion à Tunis constitue un appui à la demande de la Ligue arabe de former une force conjointe arabe et de l’ONU dans le but d’aider à mettre un terme à la violence en Syrie.