"Nous nous opposons à l’utilisation ou à la menace d’utilisation de la force dans le traitement des relations entre les pays", a souligné le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Hong Lei.
Selon le porte-parole, une frappe militaire contre l’Iran ne pourrait qu’intensifier les antagonismes et pousser la région vers une plus grande agitation. Le dialogue et la négociation sont les seuls bons moyens pour régler les différends, a-t-il affirmé.
La Chine avait récemment appelé à la reprise au plus tôt du dialogue entre l’Iran et le groupe des six médiateurs internationaux (Russie, Chine, Etats-Unis, France, Grande-Bretagne, Allemagne).
Depuis 2003, les Six médiateurs pour le programme nucléaire iranien, conjointement avec l’AIEA, cherchent à obtenir que Téhéran renonce à l’enrichissement de l’uranium, qui représente selon eux une menace pour la non-prolifération nucléaire.