Selon plusieurs sources européennes, le commissaire à la Santé et à la Politique des consommateurs John Dalli proposera, le 13 juillet, que l’exécutif communautaire obtienne de facto une plus grande latitude dans le processus d’approbation des organismes génétiquement modifiés en Europe en échange de la création d’une clause de sauvegarde pour chaque Etat membre.
"L’idée est de conserver un système d’approbation communautaire mais tout en laissant ensuite la liberté à chaque Etat membre de décider s’il veut ou non cultiver", a expliqué l’une de ces sources.
Deux options de réforme sont actuellement à l’étude. L’une comme l’autre ont été élaborées pour pouvoir être adoptées de manière rapide, en quelques semaines ou quelques mois.