La biographie non autorisée d’Angelina Jolie (Slate)

Après Lady Diana et Tom Cruise, Andrew Morton a jeté son dévolu sur la vie d’Angelina Jolie. Il a ainsi produit une biographie non autorisée, qui révèle des épisodes jusqu’ici inconnus de la vie de l’actrice. The Daily Beast résume les révélations marquantes de ce livre.

Angelina Jolie a failli être nommée Shiloh Baptist Voight. L’inspiration pour ce nom peu commun est venue d’un camion dans lequel son père, Jon Voight, et sa mère, Marcheline Bertrand, ont été coincés au cours d’une promenade à travers les bois. Sa mère l’a finalement refusé, le trouvant un peu trop hébreu. The Daily Beast note que la star aurait pu profiter de son nom de famille Voight en raison de la célébrité de son père. Mais, selon Andrew Morton, elle a préféré ne pas l’utiliser pour réussir par son propre mérite. Toutefois, sa mère a déjoué ses plans en appelant secrètement les recruteurs pour leur dire qu’elle était la fille de Jon Voight, un père avec qui elle ne s’entendait pas beaucoup. Après des années de relations tendues, Angelina lui a rendu hommage en prénommant sa fille Shiloh.

Une enfance trouble

La biographie rapporte qu’Angelina Jolie a eu une enfance difficile. Ce qui, selon l’auteur, est le résultat d’un univers familial constitué d’un étrange et célèbre père et d’une mère qui utilisait sa fille comme un moyen de réaliser ses propres rêves de célébrités. Durant la première année de sa vie, Angelina était gardée dans un endroit situé quatre étages au dessus de l’appartement de sa mère. Elle était prise en charge par des babysitteurs qui se relayaient auprès d’elle. Sa mère trouvait qu’elle ressemblait trop à son mari qui venait de l’abandonner.

Adolescente gothique

Malgré sa plastique de rêve et son look de diva, Angelina Jolie n’a pas toujours été aussi à la mode. Adolescente, elle se faisait railler à l’école pour son style gothique. Elle s’habillait en noir et portait un collier pour chien. En ce temps, elle aspirait à être directrice d’une société de pompes funèbres.

Sauvée par le Rock’n’ Roll

Plus tard, elle envisageait le suicide. Selon les psychanalystes interrogés par Morton, ses pensées suicidaires étaient causées par le fait qu’elle n’a pas de sens de soi. La biographie révèle qu’elle est sortie de sa spirale infernale quand elle a appris à jouer de la batterie. Son professeur, un ancien batteur de Jefferson Airplane, lui demandait d’écrire les noms des personnes qu’elle haïssait sur un ruban adhésif et de les coller sur les tambours. Elle a écrit ceux de son père et de son agent.

Un courtisan nommé Mick Jagger

La biographie rapporte aussi qu’Angelina Jolie avait brisé le coeur de Mick Jagger. Elle avait dansé comme strip-teaseuse dans une vidéo des Rolling Stones sur insistance de sa mère, une grande fan. Selon la biographie, elle a refusé d’accéder aux avances du rocker.

Reine en Namibie
Le séjour namibien du couple Angelina Jolie-Brad Pitt est assimilé a un séjour royal avec des égards dus à un monarques.

«Le gouvernement namibien a accepté d’établir une «no fly zone» autour de la station balnéaire que le couple a loué. Ils ont entouré l’hôtel de gardes armés.»

La biographie revient également en détail sur les relations en dents de scie qu’elle a avec son frère James Haven, sur sa gestion des paparazzi et sur son entourage composé de nounous du Vietnam, du Congo et des États-Unis, de quatre infirmières, d’un médecin de garde permanent, de deux assistants personnels, d’un cuisinier, d’une femme de chambre et de six anciens militaires français.

Photo: Angelina Jolie, Gage Skidmore/via Flickr License CC

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