Citant les conflits en Irak, en Libye et en Somalie, Ekmeleddin Ihsanoglu, secrétaire général de l’OCI, a jugé qu’une telle intervention extérieure ne ferait que nuire au peuple syrien.
"Toutes ces interventions militaires ont fait empirer la situation davantage qu’elles n’ont réglé les conflits", a-t-il dit à Canberra.
Avec la Ligue arabe et plusieurs puissances internationales, l’OCI, qui rassemble 57 pays, a prévu de participer le 24 février à la première réunion du groupe des "Amis de la Syrie" à Tunis.
"Cela renforcera la pression sur le gouvernement pour qu’il discute avec l’opposition. Nous devons élaborer un plan pour une future transformation du pouvoir", a dit Ekmeleddin Ihsanoglu.