Le Conseil de sécurité doit être "très prudent" et doit faire preuve d’une "attitude très responsable" dans sa gestion du dossier syrien, a dit Cui Tiankai.
"Si le Conseil de sécurité prend de mauvaises initiatives, cela pourrait même conduire à ce que davantage de sang soit versé", a-t-il ajouté.
Avec la Russie, la Chine a opposé le 4 février son veto à un projet de résolution appuyant les plans de la Ligue arabe, qui prévoient la mise à l’écart de Bachar al Assad.