«Nous proclamons notre refus total et catégorique de reconnaître Israël comme un Etat juif», indique le communiqué final du sommet, rejetant sur Israël la responsabilité du blocage du processus de paix.
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu insiste sur la reconnaissance par les Arabes de la judéité de l’Etat d’Israël. Il a fait de cette revendication un élément cardinal d’un accord de paix, assurant que la "racine du conflit" entre les deux peuples est le rejet arabe d’un Etat juif, et non l’occupation des Territoires palestiniens depuis 1967.