Johan Büser, le député suédois à l’origine du ‘scandale’ du projet de reconnaissance de la pseudo ‘Rasd’ (Site)

Johan Büser, député du Parti social-démocrate des travailleurs serait l’instigateur du projet de reconnaissance de la pseudo  »Rasd », croit savoir le journal électronique  »le360.ma », qui dévoile les accointances de ce jeune politicien avec le renseignement algérien.

"Depuis 2008, suite à une visite guidée à Tindouf, arrangée et financée par le DRS (le Renseignement algérien), le député suédois Johan Büser, membre actif de la Ligue des jeunes sociaux-démocrates (SSU), mène une grande action de lobbying à Stockholm au service de la propagande séparatiste algéro-polisarienne", affirme le site.

D’après des informations recueillies par "Le360.ma", l’opération de recrutement de ce fervent activiste de la jeunesse social-démocrate suédoise remonte à l’été 2008, date à laquelle le DRS a sollicité les services d’un agent-recruteur établi en Suède, un certain Hmida Benatallah, un suédo-algérien né à Djefla, à 300 kilomètres au sud d’Alger.

La contribution de ce comparse, dont le nom recèle une consonance sahraouie, ne s’est pas limitée au recrutement. Il a été sollicité pour arranger au profit de sa proie une visite guidée en 2008 à Tindouf pour les besoins d’une opération de bourrage de crâne où les services de l’ex-patron du DRS, rompus aux techniques de l’ex-KJB soviétique, sont passés maîtres, explique le site.

"Johan Büser en retournera transfiguré au point d’instrumentaliser le secteur de la jeunesse social-démocrate suédoise, réduite à tenir le crachoir à la littérature propagandiste du Polisario, avec ce que cela comporte de ragots mensongers, sans oublier les tribunes d’une certaine société +si vile+, incroyablement impressionnable par les cris d’orfraie droits-de-l’hommistes", déplore "Le360.ma".

Et de rappeler que l’animosité suédoise à l’encontre du Maroc qui date du début des années 1980, a pris, ces dernières années des allures d’un acharnement hystérique, structuré et savamment dirigé contre les intérêts suprêmes du royaume, avec à leur tête l’intégrité territoriale nationale et plus précisément la souveraineté du Maroc sur ses provinces sahariennes.

Le site se demande qui tirait les ficelles de cette guéguerre diplomatique, politique et économique enclenchée par le parti social-démocrate du Premier ministre Stefan Lofven, arrivé au pouvoir en 2014 sur le dos d’un marxisme éculée. Le premier nom à sortir du lot est celui d’un certain Johan Büser par qui le scandale est arrivé : projet de reconnaissance de la pseudo "RADS", conclut le site.

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