Le géant américain, accusé par la Commission européenne d’abuser de sa position dominante dans la recherche en ligne pour favoriser son comparateur de prix "Google Shopping" et qui a déjà été condamné fin juin à une amende de 2,42 milliards d’euros, a jusqu’à jeudi pour mettre en oeuvre des solutions.
Google, menacé de sanctions financières de la part de l’UE, a présenté mercredi des solutions censées mettre fin à ses pratiques jugées anti-concurrentielles concernant son service de comparaison de prix, qui sera désormais géré de façon indépendante.