L’instance devrait prendre mercredi la décision formelle de mettre en place une équipe de travail pour recueillir et analyser des données concernant les eaux souterraines radioactives qui s’échappent du complexe saccagé par le tsunami du 11 mars 2011 et se déversent dans l’océan Pacifique voisin, selon cette même source.
L’autorité devrait également constituer un groupe de surveillance de la contamination du milieu halieutique, en particulier celle des poissons qui pourraient être pêchés et consommés.