Cette coordination nationale des imams et fonctionnaires des affaires religieuses "aura pour mission de défendre les droits matériels et moraux des imams et fonctionnaires des affaires religieuses, selon un communiqué.
Cette coordination, affiliée à la centrale syndicale de l’Union générale des travailleurs algériens (UGTA), appelle à la "préservation de la référence nationale" et à la "modération" comme ligne de conduite.
En Algérie, où l’islam est religion d’Etat, les imams dépendent du ministères des Affaires religieuses et sont rémunérés par l’Etat.