Au terme de cette première audience, le procès a été reporté au 19 octobre.
Les deux Marocains, poursuivis pour "aide à la prostitution" et "participation à l’exploitation d’enfants", travaillaient pour un Français gérant un hô tel de luxe de Marrakech, qui a quitté précipitamment le pays en août 2011 et se trouve actuellement en Europe.
Selon Najat Anwar, présidente de l’association "Touche pas à mon enfant", "des milliers de photos et clichés pornographiques montrant notamment des enfants" ont été retrouvés sur l’ordinateur de ce Français au Maroc, à la suite d’une plainte déposée contre lui en septembre 2011 dans le cadre d’un différend commercial.