"On ne cédera rien, sinon tout cela n’aurait pas eu de sens (…) Quand on a une pancarte ‘Je suis Charlie’, cela veut dire que derrière vous avez le droit au blasphème, vous avez le droit de critiquer ma religion", a dit Richard Malka sur France Info.
Le nouveau numéro sera imprimé à un million d’exemplaires et traduit en 16 langues, a précisé pour sa part l’urgentiste-chroniqueur Patrick Pelloux à la même radio.
Les survivants de l’équipe de Charlie Hebdo, qui a perdu ses plus grandes signatures lors de l’attaque qui a fait 12 morts au total, ont été hébergés dans les locaux du journal Libération.