Sur le devant de la scène après avoir arraché en avril la démission du président Abdelaziz Bouteflika, le général Gaïd Salah était le visage du haut commandement militaire, qui a assumé ouvertement la réalité du pouvoir jusqu’à l’élection le 12 décembre d’Abdelmadjid Tebboune comme nouveau chef de l’Etat.
