L’Italie, qui est dans le collimateur des marchés, a affirmé vendredi que la BCE pourrait lui venir en aide en achetant dès lundi des obligations d’Etat du pays. Mais ce projet pourrait se heurter à des réticences de la part de certains pays européens.
Les dirigeants de la zone euro sont en première ligne, avec leurs homologues américains et des autres principales économies de la planète, pour tenter d’apporter une réponse concertée face à la menace d’une nouvelle crise mondiale.
La situation dans la zone euro et la perte par les Etats-Unis de leur note "AAA" auprès de l’agence Standard and Poor’s, font craindre un nouveau plongeon des marchés financiers lundi.