Lundi, l’UE avait annoncé qu’elle comptait accroître la pression sur le régime de M. Gbagbo via des restrictions de visas et un gel d’avoirs, face à son refus de reconnaître la victoire d’Alassane Ouattara à l’élection présidentielle. L’Union européenne avait indiqué son intention de cibler notamment ‘les responsables qui ont refusé de se placer sous l’autorité du président démocratiquement élu’.
Deux semaines après la présidentielle du 28 novembre, la Côte d’Ivoire reste plongée dans une crise institutionnelle sans précédent avec deux chefs d’Etat proclamés, le sortant Laurent Gbagbo et Alassane Ouattara, reconnu par une communauté internationale quasi unanime comme étant le président légitime.
(Source: Yahoo.fr)