"Est-ce qu’il fallait en faire autant ? Est-ce qu’il n’y a pas une volonté de nuire, d"humilier ?", s’interroge-t-il. "Quand on regarde un peu le passé d’un des juges, il se trouve qu’il a été à l’origine de tribunes incendiaires, engagées, il a été capable de coller des photos sur les murs d’un bâtiment public, de jouer au fléchettes sur nos visages".
Sans la nommer, Christian Estrosi fait référence à Claire Thépaut. Nicolas Sarkozy figurait parmi les personnalités épinglées sur le "mur des cons", dans les locaux du Syndicat de la magistrature. Or, Claire Thépaut, l’une des juges qui a placé l’ex-chef de l’Etat en garde à vue, est membre de ce syndicat.