"Il doit réfléchir en premier lieu à son propre pays, qui a de nombreux problèmes économiques et sociaux. C’est un pays divisé, socialement morcelé, avec une super-élite qui exploite la population", a déclaré jeudi soir le promoteur de la "révolution bolivarienne", qui n’avait pas encore réagi à la réélection mardi de Barack Obama.
"Il devrait s’appliquer à gouverner son propre pays et renoncer à en diviser et à en envahir d’autres", a poursuivi Hugo Chavez, qui ne manque jamais une occasion de dénoncer l’implication américaine en Irak et en Afghanistan.
Il a lui-même été réélu pour six ans en octobre.