En 2009, à son arrivée au pouvoir, Barack Obama avait déclaré que les agents ayant utilisé le waterboarding ne pourraient pas être poursuivis en justice car ils avaient obéi aux ordres.
Cette technique d’interrogatoire est considérée comme une torture par les organisations de défense des droits de l’homme. Dans ses mémoires, Decision Points («Instants décisifs»), qui paraissent la semaine prochaine, l’ancien président reconnaît les faits mais se défend en affirmant qu’il croyait pouvoir obtenir des informations vitales pour la sécurité des Américains.