« L’une des grandes promesses du Brexit était de libérer les entreprises britanniques afin de leur donner la marge de manœuvre nécessaire pour maximiser leur productivité et leur contribution à l’économie, ce qui est encore plus nécessaire aujourd’hui sur le long chemin de la reprise après la pandémie », a rappelé Meg Hillier, présidente de la PAC.
« Pourtant, le seul impact détectable jusqu’à présent est l’augmentation des coûts, de la paperasserie et des retards aux frontières », a-t-elle déploré. Le rapport est publié alors que Jacob Rees-Mogg a été nommé ministre des opportunités du Brexit dans le cadre d’un remaniement ministériel. En grand partisan du « Leave », il examinera les règles de l’UE qui pourraient être supprimées maintenant que le Royaume-Uni a quitté l’Union.
De son côté, le gouvernement a soutenu qu’il continuait à veiller à ce que les entreprises « reçoivent le soutien dont elles ont besoin pour commercer efficacement avec l’Europe ».