"Il est dans le droit constitutionnel", a-t-il ajouté, indiquant qu’en vertu de la Constitution ivoirienne, si Laurent Gbagbo partait, il faudrait réorganiser des élections. "Il faut laisser les Etats être souverains", a également martelé le conseiller. Laurent Gbagbi n’a, selon Bernard Oudin, pas de compte à rendre à la communauté internationale, car "il n’a commis aucun crime en Côte d’Ivoire", et ira par conséquent "jusqu’où son sens de l’histoire le mènera".