Le président du Modem a estimé lundi que la guerre de succession à la tête de l’UMP relevait d’un antagonisme de valeurs entre une droite ouverte représentée par François Fillon, avec qui il pourrait travailler, et une autre jouant les rapports de force, désignant implicitement Jean-François Copé.
Le Béarnais, qui avait voté pour François Hollande au 2nd Tour de la présidentielle, est en difficulté dans sa circonscription pour les Législatives.