"Concernant la première version du texte qui contenait des points scandaleux, les reculs vont plutôt dans le bon sens. Il reste encore des choses que je n’approuve pas (comme) la question du licenciement économique telle qu’elle est posée", a-t-elle déclaré vendredi sur France Inter.
Pour la maire de Paris, "on est parti sur des idées fausses. Ce n’est pas en libéralisant le licenciement que l’on crée de l’emploi".
"Un gouvernement de gauche, progressiste, humaniste, doit se remettre avec ce coeur de logiciel qui est l’humanisme dans les décisions que nous prenons. Ce n’est pas une pensée naïve, il n’y a pas plus pragmatiques que les humanistes" a conclu Mme Hidalgo.