La jeunesse du quartier populaire entend se révolter contre la cherté de la vie, la vétusté du logement et le chômage. Selon le journal algérien, nombre de commerces ont abaissé leurs rideaux, craignant d’éventuelles bandes de casseurs. Par peur de restrictions dues au bouclage du quartier, les habitants tentent d’ores et déjà de s’approvisionner en produits de première nécessité.