Lors d’une conférence de presse à Istanbul avec son homologue turc Ahmet Davutoglu, Hillary Clinton a déclaré avoir évoqué des plans opérationnels avec la partie turque afin d’»accélérer la fin de l’effusion de sang et du régime Assad. Ceci est notre objectif stratégique».
«Nous continuons à accroître la pression de l’extérieur. Nous avons annoncé hier à Washington des sanctions destinées à exposer et à casser les liens entre l’Iran, le Hezbollah et la Syrie qui prolongent la vie du régime Assad», a-t-elle dit.
Elle a dit également «partager les inquiétudes» de la Turquie sur le Parti des travilleurs kurdes (PKK). La Syrie ne peut devenir un sanctuaire pour les rebelles kurdes «que ce soit maintenant ou après le départ du régime» du président Bachar al-Assad, a-t-elle dit.