Le patron de Transgene, Philippe Archinard, espère, "dès 2014, réaliser la première administration chez l’homme de TG1050", selon ce communiqué. "Comparé aux antiviraux, le traitement par immunothérapie devrait augmenter significativement le taux de guérison des malades atteints d’hépatite B chronique", explique Dr Fabien Zoulim, directeur médical du département des hôpitaux de Lyon, cité dans le communiqué. Il offre un "nouvel espoir de traitement dont la durée serait limitée dans le temps", poursuit le spécialiste. Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), 350 millions de personnes dans le monde sont affectées par une hépatite B chronique. Cette maladie est responsable chaque année d’un million de décès. Transgene, qui a son siège à Strasbourg, conçoit, développe et fabrique des produits innovants d’immunothérapie ciblée contre les cancers et les maladies infectieuses chroniques.
