"Des projets communs aux deux rives de la Méditerranée dans le domaine des infrastructures, de l’éducation, de la formation et de l’entreprenariat des femmes nécessitent un soutien financier renouvelé et des parlements forts", soulignent-ils dans une déclaration rendue publique lundi.
Le texte, adopté par plus de 40 présidents de parlement demande "plus de légitimité démocratique et de participation des citoyens de l’UPM".
Dans leur déclaration, les présidents des parlements de l’UpM mettent en avant "l’ampleur des défis de la transformation démocratique dans les pays du Sud et de la crise économique qui frappe le Nord", d’où leur inquiétude "des risques d’insécurité et d’instabilité dans la région sahélo-saharienne". A cet égard, ils considèrent que des instruments de co-développement sont "nécessaires pour éradiquer le terrorisme et ses connexions avec le crime organisé transfrontalier". Ils rappellent que "la dignité humaine, le respect des droits fondamentaux et l’égalité homme-femme doivent guider la coopération régionale dans l’intérêt du rapprochement entre les peuples".

