L’Elysée et Matignon ont en fait décidé de renoncer d’abord face à la complexité de la mesure, et ensuite pour des raisons politiques. "Il s’agit de montrer aux riches qu’on ne veut pas les étrangler", confie ainsi une source gouvernementale. Pour l’heure, le discours officiel évoque la prochaine loi de finances, en septembre, pour aborder à nouveau la fameuse taxe. Mais en haut lieu, on prédit qu’il y aura alors beaucoup d’autres sujets de préoccupation.
