"Nous continuerons à travailler ensemble pour lutter contre le braconnage, gérer les ressources de la faune, améliorer la capacité de mise en Âœuvre et réduire la demande sur les produits de la faune illégale", indique une déclaration conjointe publiée vendredi au terme d’une rencontre entre responsables des deux pays.
En dépit de lois répressives, les animaux sauvages font l’objet d’un trafic important en Inde. Après la Chine, les Etats-Unis sont le deuxième pays importateur au monde des produits de ce commerce illégal comme l’ivoire, la bile d’ours ou la poudre de corne de rhinocéros.
A New Delhi, responsables gouvernementaux américains et indiens, ainsi que des représentants d’organisations internationales spécialisées et d’ONG locales ont discuté des défis que pose aujourd’hui la lutte contre ce phénomène devenu, selon les experts, plus que jamais organisé, lucratif et étendu.
Outre la volonté politique, la sensibilisation du public et une plus grande coordination internationale ont été jugées indispensables pour juguler ce trafic.