Neuf ans après un attentat ayant conduit au départ de troupes syriennes ayant maintenu le pays sous leur joug pendant 30 ans et trois ans après le début du conflit qui ravage la Syrie, l’accusation va enfin débuter la présentation de ses éléments à charge.
Le procès de quatre membres du Hezbollah accusés de l’assassinat en 2005 de l’ex-Premier ministre libanais Rafic Hariri s’ouvrira jeudi à La Haye, en leur absence, dans une procédure dont les enjeux sont éclipsés par la guerre en Syrie et les violences qui secouent le pays du cèdre.
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