"Le travail de mémoire est toujours douloureux, mais doit être fait", a estimé M. Hollande lors d’une conférence de presse avec son homologue turc Abdullah Gül, dont le pays refuse de qualifier les événements de 1915 de "génocide".
Le président français s’est par ailleurs efforcé de désamorcer les craintes que pourrait susciter l’éventualité d’une adhésion de la Turquie à l’Union européenne (UE), en assurant que les Français seraient consultés par référendum sur la question.
"Inutile d’ajouter quelque peur que ce soit, le peuple français sera de toute façon consulté", a–il déclaré.
