"Des hommes politiques japonais ont choisi ce jour-là pour se rendre au sanctuaire, qui honore des criminiels de guerre de +première classe+ et glorifie une guerre d’agression" (menée par le Japon, ndlr), a déclaré le ministère dans un communiqué, ajoutant que "la Chine exprime son opposition résolue et son vif mécontentement".

