"Je voudrais attirer l’attention sur le Juppé-bashing. Qui a protesté contre l’odieuse campagne dont j’ai été l’objet pendant des mois ?", s’est-il défendu avant de détailler les accusations dont il a fait l’objet, notamment sur les réseaux sociaux. "On m’a d’abord accusé d’avoir construit à Bordeaux une gigantesque mosquée qui n’existe pas. Ensuite on m’a rebaptisé, si je peux utiliser ce terme, ‘Ali Juppé’, le grand mufti de Bordeaux", énumère celui qui a recueilli 28,6% des voix au premier tour du scrutin. "Et dans la dernière période, j’ai été ‘complice’ des salafistes et des antisémites", rappelle-t-il.
