Ces trois derniers jours, seuls quelques centaines de personnes ont tenté de manifester dans la capitale alors que de nombreuses villes de province ont connu des violences depuis le début des protestations, jeudi à Machhad (nord-est), deuxième ville du pays.
"Nous estimons que la situation à Téhéran est plus calme que les jours précédents. Déjà hier (lundi), c’était plus calme que les jours d’avant", a déclaré M. Nasserbakht. Le mouvement de contestation social, d’une ampleur inédite, a fait descendre des milliers d’Iraniens dans les rues.
