S’adressant aux parlementaires socialistes, M. Papandréoua, qui n’a pas fixé de date pour ce référendum, a aussi annoncé qu’il demanderait un vote de confiance au Parlement.
L’accord prévoit notamment que les banques vont effacer la moitié de l’ardoise grecque.
Les créanciers privés, dont les banques, ont accepté une décote de 50 % des obligations grecques qu’ils détiennent, soit, selon l’Institut de la finance internationale (IIF), une perte de 100 milliards d’euro.
La zone euro garantira les nouvelles créances à hauteur de quelque 30 milliards et, avec le Fonds monétaire international (FMI), elle accordera 100 milliards d’euros de prêts à la Grèce.
La dette de la Grèce devrait ainsi être ramenée à 120 % de son produit intérieur brut (PIB) d’ici à 2020, au lieu de 180 %.