Dans le cas de l’affaire DSK, Jean-Louis Debré regrette l’effet apporté par les caméras. "C’est un petit peu le drame dans cette société de communication qu’est la notre, qu’aujourd’hui, par la force des images, on arrive à faire disparaitre la présomption d’innocence et on présente des gens qui sont déjà considérés comme coupables avant d’être jugés", a précisé le président du Conseil constitutionnel. "Et c’est pour ça, gardons notre système français qui fait qu’au moment où celui qui est mis en examen est confronté à son juge, et bien il est confronté à son juge, il n’est pas confronté à l’opinion publique", a-t-il conclu.