Dans une déclaration à la presse tunisienne et nationale, le premier ministre s’est dit " honoré " par cette rencontre qui a été " cordiale et fraternelle " et qui est " de nature à renforcer les relations et les échanges entre les deux pays et sur le plan de l’Union du Maghreb arabe ".
" Je suis certain que la révolution tunisienne, par ses répercussions positives, donnera une nouvelle impulsion à la coopération et à l’intégration maghrébines", a-t-il ajouté.