L’intéressé, qui a suivi de près les nombreuses dégradations à caractère raciste observées depuis un an sur la grande mosquée de Limoges, assure que la calligraphie est la même que celle vue dans d’autres lieux et circonstances sur Limoges récemment. La police préfère rester prudente et assure qu’aucune expertise scientifique n’a encore été demandée. Pour autant, "cette piste fait partie de la réflexion", selon elle. Ces faits seront donc vraisemblablement évoqués dans l’enquête menée depuis plusieurs semaines sous l’autorité d’un juge limougeaud afin d’identifier le ou les auteurs des tags, observés notamment sur la grande mosquée.