"Le parti socialiste est le premier parti de ce pays à avoir préparé, rédigé, débattu et validé son projet en vue de l’alternative de 2012", s’est félicité Christophe Borgel. Le "contexte a joué aussi", a-t-il reconnu, alors que le PS a perdu sans doute l’un de ses meilleurs candidats, Dominique Strauss-Kahn, poursuivi aux Etats-Unis dans une affaire d’agression sexuelle.
"Dans ce moment où les socialistes sentent l’importance d’une cohésion, d’une unité, ce projet en est vraiment la marque". Le chiffre de 95,14% est "une bonne surprise, car on aurait pu avoir beaucoup plus de votes blancs et nuls, comme cela a été le cas dans d’autres conventions". "Le rassemblement et la solidité de ce projet ont marqué les militants du PS", a-t-il encore analysé. Reste donc à désigner un candidat.