
Des responsables yéménites affirment que le départ du chef de l’Etat était prévu dans un court délai après la signature fin novembre d’un accord par lequel il s’engageait à transférer ses pouvoirs à son vice-président et à quitter le pouvoir.
Entre-temps, le vice-président a formé un gouvernement d’unité nationale. Une élection présidentielle est prévue pour février mais l’opposition accuse Saleh de continuer à user de son influence par l’intermédiaire d’alliés ayant conservé leurs postes.