"Ces accusations ont pour unique dessein d’instrumentaliser à des fins politiques une polémique qui ne repose que sur des extrapolations gravement mensongères", ont-ils déclaré dans un communiqué avant de souligner que dans cette période de crise, "Yannick Noah comprend le débat actuel qu’il considère parfaitement légitime", mais "n’accepte pas d’être identifié à un fraudeur ni d’être stigmatisé comme un exilé fiscal".
Yannick Noah a également assigné en diffamation le sénateur Pierre Charon et la députée Valérie Rosso-Debord, tous deux UMP, après les "attaques" dont il a fait l’objet à l’issue de sa participation au meeting de François Hollande, le candidat socialiste.