Les membres de ce réseau qui s’activaient depuis les années 90 en Algérie, sont des Algériens et des Franco-algériens. Ils sont poursuivis notamment pour "association de malfaiteurs, faux et usage de faux en écritures publiques, enlèvement, séquestration et éloignement d’enfants de leurs mères", a-t-on indiqué de source officielle.
Le médecin Hanouti Khelifa, principal accusé dans cette affaire, a été également condamné à la privation du droit d’exercer la profession pendant 10 ans.
Six autres accusés, des franco-algériens, ont été condamnés par contumace à 10 ans de prison ferme et le reste des membres du réseau à cinq ans de prison (4 accusés) et 3 ans de prison avec sursis pour un autre.
Ce "dangereux réseau à l’origine du transfert illégal d’un grand nombre d’enfants vers l’étranger" a été démantelé par les services de sécurité en 2009, ajoute-t-on.