En dépit des promesses de Moscou pour aider à la mise sous contrôle, puis au démantèlement des armes syriennes de destruction massive, le secrétaire d’Etat américain Jhon Kerry, a souhaité "examiner davantage" la proposition russe de sorte à surmonter toutes les divergences.
Après une première journée de tractations, les deux diplomates ont décidé de prolonger leur séjour en Suisse afin de "parvenir à un accord de principe" sur la question de l’arsenal chimique syrien, à travers notamment l’adhésion de Damas à la Convention sur l’interdiction de ces armes.