"Nous sommes présidés par +le président-déficit+ : il a plus que doublé le déficit public, en grande partie à cause des cadeaux fiscaux aux grandes fortunes", dénonce Mme Royal, qui avait été battue au second tour en 2007 par Nicolas Sarkozy.
Face aux enjeux de la crise liée à l’endettement des Etats, elle propose "l’ouverture d’états généraux sur la réforme des prélèvements et de l’impôt, puis un référendum pour stabiliser les règles pendant cinq ans".