Entre 1989 et sa libération en 2010, l’égérie du mouvement démocratique birman a passé quinze années assignée à résidence à Rangoun. Pour la première fois depuis près d’un quart de siècle, elle a pu se rendre en Europe.
Lors de son discours d’acceptation à Oslo, elle a souligné qu’il y avait encore beaucoup de chemin à faire pour que les libertés politiques soient totalement respectées dans son pays.
Aung San Suu Kyi est attendue du 26 au 29 juin à Paris à l’invitation du président François Hollande.