"Un pouvoir en place depuis longtemps, une situation économique qui est bonne, mais la perception n’est pas celle-là. Et puis des internautes, une jeunesse qui ne supporte plus l’immobilisme politique, les inégalités sociales", a-t-il énuméré sur Europe 1. "Il y a effectivement des ingrédients communs à l’Egypte et à la Tunisie."