Les soubresauts politiques qui ont prévalu en décembre ont amené investisseurs et citoyens de base à changer leurs livres égyptiennes en dollars américains par crainte d’une dévaluation ou de l’instauration par le gouvernement de contrôle des capitaux.
La Banque centrale a puisé plus de 20 milliards de dollars dans ses réserves en devises étrangères pour soutenir le cours de la livre égyptienne depuis la "révolution du Nil", qui a renversé en février 2011 le président Hosni Moubarak et fait fuir les investisseurs et touristes étrangers.
