Le défunt souffrait d’une maladie psychiatrique sous formes d’hallucinations, comme le confirment plusieurs rapports médicaux sur son état de santé, indique la Délégation générale à l’administration pénitentiaire et à la réinsertion dans un communiqué, précisant qu’il était soumis à un suivi médical régulier à l’Hôpital universitaire psychiatrique Arrazi de Salé, sachant qu’il refusait de prendre les médicaments qui lui avaient été prescrits par l’équipe médicale.
Sa famille a été informée de son suicide, de même que les autorités judiciaires compétentes conformément aux dispositions de la loi en vigueur, relève la même source.