«En dépit des crises que connaît le monde aujourd’hui, le train des réformes au Maroc avance de jour en jour et il y a une volonté de moderniser l’économie», a affirmé M. Fassi Fihri, lors d’une émission spéciale sur «les relations extérieures du Maroc: Acquis et challenges», diffusée, lundi, par la chaîne Al Aoula.
Le ministre a mis en relief l’importance des chantiers dans lesquels le Maroc s’est engagé, notamment les infrastructures et les télécommunications, ainsi que l’Initiative marocaine pour le développement humain (INDH), rappelant que le Maroc a été précurseur dans plusieurs réformes qui lui ont permis de bénéficier du «Statut avancé» dans le cadre de ses relations avec l’Union européenne (UE).
Abordant les évènements que connaissent actuellement certains pays arabes, M. Fassi Fihri a rappelé que le Maroc a constamment insisté sur l’intégration économique, qui permettra de développer les économies des pays arabes et créer des opportunités pour les jeunes.
Le ministre s’est également arrêté sur le prix de la non-création de l’Union du Maghreb «dont nous payons le tribut au quotidien», assurant que «ce qui s’est produit en Tunisie n’aurait pas eu lieu, si cette Union, du reste incontournable, existait».