Selon lui, il faut "commencer par traiter l’inégalité dans laquelle les musulmans se trouvent quant aux conditions matérielles de l’exercice du culte". L"élu de la majorité assure qu’"aucun muslman ne prie dans la rue par plaisir et par provocation". François Grosdidider dit avoir demandé au secrétaire général de l’UMP Jean-François Copé d’intervenir dans ce débat, en vain : "il ne m’a pas répondu. Les réponses sont déjà faites et donc il n’y a pas de débat".